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Réponses aux Questions posées par la Page "Contact"

à lire dans l'ordre chronologique : - 1 -, - 2 -, - 3 -, ...

- 60 - Dans votre dernière réponse, vous écrivez au sujet de « l’effet transversal ». Qu’est ce exactement ?

Le 25/02/2011

Je ne suis pas étonné que, sentant combien la réalité biologique ne mettant en avant que le Mâle, cette Question, Marcel, me soit posée par un homme.

 

Je viens d’écrire de longues Réponses dans lesquelles presque tout était mâché.

       Et je vais, encore, ce soir,  vous donner une réponse très longue parce que je suis dans une grande jouissance spirituelle et intellectuelle en la sentant naître et monter en mon esprit et mes pensées, Naturellement et presque malgré moi.

       Pourtant, il serait maintenant temps que, sur les fondements ou non de tout ce que je vous ai déjà donné, vous fassiez chacun et tous, appels à votre/vos propre(s) extrapolations suivies d’études, réflexion(s) et tris sur ces extrapolations, le tout, sur le constant support de vos inconsciences et consciences.

- 59 - À ce « psychogerménisme », êtes-vous seul à avoir pensé ?

Le 19/02/2011

Mon exposé sur le psychogerménisme ayant provoqué beaucoup de réactions étonnées, je m’empresse, Marie, en ce samedi soir, de répondre à votre Question :

Bien sûr que non ! À ce psychogerménisme, Je ne suis pas seul à avoir pensé !

Et même si, à cela, comme à beaucoup d’autres choses, constamment, j’avais été seul à avoir pensé, ceci ne signifierait pas pour autant que ce ne serait pas exact !

Et, réflexion déjà reporté dans ma Réponse - 55 -, comme disait Michel COLUCCI (dit « Coluche ») :

« Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort, qu’ils ont raison. »

        Je suis peut-être le premier de cette terre à avoir eu parfaite Conscience du psychogerménisme, à le formuler clairement et à l’avoir, évidemment, d’abord, appliqué en tout Amour-Conscience-Intelligence, pour, dès l’enfance, concevoir moi-même-dans-la-Nature, mes propres Enfants et possiblement être, ainsi, le premier Véritable Père :

         L’hérédité ne se transmet pas par « un hasard qui n’existe pas » mais beaucoup d’éléments de transmission restent et resteront ignorés des scientifiques, même si, bientôt, ils découvriront notamment les mécanismes qui provoquent telles ou telles recombinaisons d’A.D.N. ..., car ensuite s’ouvrira devant eux le semi-abstrait qui ne sera appréhendable que mentalement et individuellement, par sa propre conscience, notamment en naviguant sur les ondes subtiles de l’inconscient collectif et de l’instinct de l’espèce.

- 58 - Qu’est le « psychogerménisme » ?

Le 18/02/2011

Ce que j’ai moi-même dénommé le « psychogerménisme » émergera bientôt à la Con-science de chacun et sera ensuite connu de tout le monde.

Et, comme le mot psychosomatique, le mot « psychogerménisme » s’écrira, à son tour, sans guillemets.

       Lorsque les « humains » auront réalisé ce qu’il est, il ne sera plus possible aux femmes devenues féministes et aux « magistrats » eux-mêmes toujours intrinsèquement collabo de tous les totalitarismes, de prendre en otages, les Enfants des Hommes et la société retransformée en redeviendra heureuse et évolutive.

- 57 - Dites-nous donc, Gottfried, qui était en premier, de l’œuf ou de la poule ?

Le 30/01/2011

 La façon dont vous me posez la question, Edgar et, d’abord, votre « petit mot » la précédant me semblent bien constituer un défi !

Une personne à qui je les ai montrées aussitôt, dès hier soir, m’a même dit que vous aviez dû penser à peu près :

       « Ah ! Il joue les génies en répondant tout simplement à toutes sortes de questions que les humains ont toujours trouvées insolubles, mais, sur cette question là, sur laquelle tout le monde, depuis toujours, se « casse les dents », il ne va pas pouvoir continuer à faire le malin et il ne va probablement même pas la publier pour tenter d’y répondre. »

 

Pourtant, il n'y a même pas à réfléchir à cette Question car la Réponse en est évidente !

       Au surplus, j’ai, plusieurs fois, répondu publiquement à cette Question, depuis des décennies (et il se peut donc que vous ayez déjà entendu ou lu, ailleurs, la Réponse ci-après qui me reste cependant personnelle).

- 56 - Il y a, dans votre premier volume, des explications extraordinaires, mais d’autres parties ne sont-elles pas trop simples ?

Le 29/01/2011

Oh ! Amandine ! Pas du tout !

       Chaque mot y compte et partout parce qu’il s’agit des propos de « Cinq-Pétales » (qui deviendra « Six-Pétales ») et de Guenièvre et qu’elles sont, l’une comme l’autre, intrinsèquement, bien au-delà de l’humain.

 

D’une grande part des personnes que vous rencontrez, lorsqu’elles vous ont raconté leurs vies, vous n’avez plus grand chose à recevoir d’intéressant.

De la part de « Cinq-Pétales » (qui deviendra « Six-Pétales ») et de Guenièvre, vous pourriez n’entendre, même pendant des millénaires, que des propos passionnants et élevant votre Âme.

- 55 - Comment définiriez-vous donc un « intellectuel » ?

Le 25/01/2011

Un véritable intellectuel, Stéphanie, n’est pas celui qu’on a aujourd’hui défini comme tel, en Occident du Nord !

Un intellectuel n’est pas plus fonctionnel et intéressant que quiconque pour la société des humains et pour toute la Nature, puisque :

- la fonctionnalité globale de la société et de toute la Nature n’est que la résultante : l’addition, la multiplication et l’exponentielle de la fonctionnalité de chaque individu pour lui-même.

- l’intérêt collectif de la société et de toute la Nature n’est que la résultante : l’addition, la multiplication et l’exponentielle des vrais intérêts individuels.

        Un intellectuel n’est pas un compilateur, « conlesnormes » (= avec les normes), conforme . . . ne faisant que répéter et transmettre à son tour, sans hauteur, réflexion et analyse personnelle, les « connaissances » accumulées dont il a été gavé, conformément aux schémas normalisés et standardisés habituels à l’époque et au lieu.

Il n’en prend pas non plus systématiquement le contre-pied.

Il est libre et n’omet jamais de faire la différence entre :

- d'une part, les Con-naissances innées ou résultant de l'élévation de sa Con-Science

(qui sont nécessaires et suffisantes pour l’espèce et pour lui-même)

           et - d'autre part, les « connaissances » acquises et résultant de conditionnements et d'exercices intellectuels

(qui peuvent être tout autant erreur et régression que conformité avec les Lois de la Nature et évolution).

- 54 - Existentialisme ou essentialisme ?

Le 23/01/2011

Je vous remercie pour votre Question, Yoann !

▬► L’existentialisme est une théorie selon laquelle chacun n’est, dans cette vie, que ce qu’il est devenu et que ce qu’il devient par ce qu’il a fait et ce qu’il fait.

Il ne serait donc que le résultat de l’acquis et même, précisément, de l’auto-acquis.

Il ne serait donc qu’extrinsèque.

▬► L’essentialisme est un constat selon lequel, dès sa naissance, chacun est déjà ce qu’il est et, potentiellement, ce qu’il va devenir.

       Il est le résultat de l’acquis (hérité) de la part de sa famille et surtout de l’auto-acquis, c’est-à-dire de l’acquis (hérité) de sa propre part (de lui-même) en tant qu’Âme dans tout son passé de ses vies-et-inter-vies-antérieures et aussi dans sa présente vie.

Il est donc d’abord intrinsèque et ensuite extrinsèque.

- 53 - Quelle est la différence entre une erreur et une faute ?

Le 23/01/2011

        Il est logique, Aymeric, qu’en même temps que Gaël, que vous m’avez écrit être votre frère et qui m’a posé la question du Bien et du mal, vous m’ayez vous-même posé celle de l’erreur à donc différencier de la Faute !

        Pour répondre à votre question, je vais, à nouveau, seulement me contenter de vous reporter exactement et sans commentaire, ce que m’en a dit encore Guenièvre, mais, cette fois, directement, et qui sera publié dans le troisième Volume de la collection des Gwendoline et Gottfried, intitulé : « Je suis mort à Tabarka ! »

Vous n’avez pas dû entièrement visiter le Site car je l’ai déjà reporté dans « Livres (extraits) », « PARTIES DU TROISIÈME VOLUME », sous le titre « erreur et Faute » :

« Si, sans t’en rendre compte, tu commets une erreur, une erreur en toute bonne foi, ce n’est pas une faute et tu n’amputes même pas tes chances d’évolution.

       Si au contraire, et même par négligence ou par indifférence, tu commets une faute et que tu doives la payer, on te rend alors service : tu es blanchi au moins sur le plan de ce que tu dois moralement.

Mais tout le monde paie ses fautes et c’est un leurre de croire que celui qui semble indifférent ne paie pas.

Il a un profond dégoût de lui-même qui s’installe petit à petit, progressivement.

Il devient névrosé et malade.

C’est d’ailleurs de ce mal dont souffre aussi la société : c’est une névrose collective.

Mais c’est une évidence et chacun est conscient de cette névrose, à quelque degré qu’il se trouve, chacun en est las, mais voilà ! Comment y remédier ?

Il n’y a pas de remède collectif. Le remède est individuel.

Le remède, c’est Le Bonheur pour chacun, un Bonheur pour tous.

Un Bonheur juste dans un monde d’injustices ! Comment ?