imperfection

- 40 - Pouvez-vous nous en dire plus au sujet de l’ego ?

Le 10/12/2010

Évidemment, Charles, que je peux vous en écrire bien davantage au sujet de l’ego !

Vous avez raison d’aborder à nouveau, ce point Essentiel !

(j'écris « point » parce qu'un point n'occupe aucune surface, aucun espace, mais que c'est pourtant avec une multitude de points que l'on fait les plans et construit les volumes).

Nous vivons dans le monde.

La raison d’être du monde est de permettre à l’Amour de se manifester et de s’exprimer (quelle pourrait donc être une quelconque autre justification ?).

Ce monde existe pour le plaisir du jeu (et donc du je) (c’est un terrain de jeu entre les individus ou ego et les équipes ou groupes d’ego).

- 26 - Gottfried ! Écrivez-nous maintenant au sujet de l’essentiel : l’amour !

Le 13/10/2010

        Pour vous écrire au sujet de l’Amour, Jean, je vais faire référence à « Cinq-Pétales » (qui deviendra « Six-Pétales ») et à Guenièvre.

Parmi ses multiples discours, toujours au sujet de l'Amour, « Cinq-Pétales » m'a dit : « Si je parle d'Amour, de la forme délicate des nuages ... »

        (Vous avez pu l'entendre dans le film précédent l'ouverture de ce Site et sous « CD (extraits) », dans ce que, en référence au Veda, j'ai dû intituler « Conscience de l'Unité »).

Parmi ses multiples discours, toujours au sujet de l'Amour, Guenièvre m’a dit : « L’Univers ! C’est le cycle de l’Amour ! »

        (Vous avez pu le lire sous « Livres (extraits) », dans « PARTIES DU PREMIER VOLUME », à la fin de l’ « Histoire de la première Vie de Chat de Grigri »).

        Personnellement, je n'ai pas leurs niveaux d'évolution mais j'existe notamment pour les comprendre et transmettre en y ajoutant les souvenirs de mes propres vécus et les fruits de mes propres réflexions que j'ai toujours eues, dans toutes mes vies et notamment dès ma naissance dans la présente vie (et donc bien avant nos retrouvailles dans cette vie).

Ma technicité me le permettra peut-être.

Que l'Univers soit le Cycle de l'Amour est parfaitement clair, car, en raisonnant par l’absurde, il est une évidence qu’il ne peut être rien d’autre !

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