Dans la Q/R - 13 - que vous avez dû lire, j’ai déjà, Amaury, répondu au sujet de la fonctionnalité de la prière et donc, d’abord, de son point d’appui : la foi.
Et j’ai, évidemment, d’entrée, rappelé que cette foi n’était jamais une question individuelle mais toujours une question collective.
Quand, dans l'actuel BRÉSIL, se réunissent les membres de la tribu restée Naturelle, à l'endroit où ont célébré leur première messe, les envahisseurs portugais, ils dénomment « croix de la mort », celle qui s'y trouve et avec laquelle ces monstrueux envahisseurs ont fait tout ce qu'ils ont pu pour tenter de les dénaturer-et-détruire-leurs-pratiques-animistes et même pour tenter de détruire leurs coutumes.
Maintenant, nous allons traiter de la façon dont naît la foi !
Rien n’existe qui soit parfaitement bon ou mauvais, Samira.
Dans le yang, il y a toujours du yin et dans le yin, il y a toujours du yang.
Dans toutes les « religions », l’alcool, par exemple dans le vin, est accepté.
Il en est ainsi même dans l’Islam.
Dans le Coran, à l’origine, seule l’ivresse était prohibée, puis, pour des raisons sociologiques, l’alcool y a été interdit.
Pourtant, l’alcool permet de connaître quelqu’un : s’il a bu, est-il triste ou joyeux, pacifique ou agressif ?
Il révèle sa Nature profonde.